MENDÉSISME

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«Je n’aime pas ce vocabulaire», disait Pierre Mendès France quand on parlait de mendésisme (lettre publiée in Mendès France , de Jean Lacouture, p. 535). Il n’y a pas de système Mendès France. Il y a un homme Mendès France, qui a marqué l’histoire par son caractère plus que par ses idées. Il a été la conscience de toute une génération. Il a incarné la vertu, au sens romain du terme. «Je n’estime que les gens qui me résistent mais je ne peux pas les supporter», lui aurait dit de Gaulle au moment de leur rupture de 1945. François Mauriac y verra la seule erreur du général, le comparant alors à Jeanne d’Arc abandonnée par ses voix.

Dix ans plus tard, quand la nation s’enlise dans l’affaire d’Indochine, Pierre Mendès France prend la voix de Cassandre pour annoncer le désastre inévitable. Diên Biên Phu consommé, des députés aux abois lui confient le pouvoir pour sept mois et dix-sept jours. Il y pratique un nouveau style de gouvernement. Les causeries au coin du feu remplacent les intrigues de couloirs. Le président du Conseil gagne la confiance des citoyens, qui lui fait perdre celle de leurs représentants. Ni les premiers ni les seconds n’oublieront ce météore qui a si vite traversé le ciel de la République. Dans les derniers temps de la IVe, dans les premiers de la Ve, il devient le recours de toutes les «nouvelles gauches» qui se cherchent entre une S.F.I.O. agonisante et un Parti communiste enlisé dans le stalinisme. Il ne parviendra jamais à être leur rassembleur. Sans l’oublier, elles se tourneront vers François Mitterrand en 1965.

L’échec découvre l’autre face d’un destin contradictoire que François Bloch-Lainé résume ainsi: «L’attrait, le rayonnement, le respect [...] et l’échec [...]. L’intelligence, la rigueur, la loyauté du raisonnement entraînent l’adhésion. Mais [...] le rejet de toute ruse utile traduit, semble-t-il, un goût d’avoir raison plus fort que le désir d’aboutir.» Ce haut fonctionnaire ajoute aussitôt que ses collègues et lui ont connu très peu – à peu près pas – d’autres «hommes politiques qui allassent si lucidement au fond des dossiers, et si clairement jusqu’à la formulation des conclusions». Il conclut: «Nous sommes nombreux à avoir, tant bien que mal, fait du Mendès trente années durant, plus ou moins en liaison avec ce porteur de flambeau solitaire.» À quoi ce dernier répond: «Le devoir d’un responsable ne consiste pas à louvoyer, à ménager sans cesse les uns et les autres, en sacrifiant ainsi l’intérêt de la collectivité tout entière. Il exige des choix, des déterminations claires, avec la volonté de s’y tenir, dans l’opposition comme au pouvoir.»

La riposte décrit bien le caractère de l’homme. Elle éclaire sa popularité en même temps que sa paralysie dans un régime qui exigeait des méthodes exactement contraires pour parvenir au gouvernement et en tirer le maximum possible. Elle étonne de la part d’un fidèle du parlementarisme français traditionnel et du parti qui l’incarnait en le symbolisant: le Parti radical. N’oublions pas que Pierre Mendès France a voté «non-non» au référendum de 1945: c’est-à-dire pour le retour pur et simple à une IIIe République dont il a toujours gardé la nostalgie. Mis «hors du Parti radical» en 1954, il tentera de s’intégrer à la famille socialiste en adhérant au P.S.A. fondé par des dissidents de la S.F.I.O., puis au P.S.U. qui en fut l’élargissement. Mais il y restera un marginal qui reprendra vite sa liberté. Il était allergique aux organisations disciplinées qui caractérisent notre époque. Il leur préférait les formations souples comme celle de la rue de Valois.

Irréalisme politique et réalisme économique

Décrivant, en 1962, La République moderne qu’il souhaitait, il la fait reposer sur un gouvernement s’étendant sur toute la législature, comme en Grande-Bretagne. Pour atteindre ce but, il ne propose qu’un moyen: la liberté de dissolution confiée au Premier ministre. Cette arme aurait certainement donné la victoire à Pierre Mendès France en 1955, s’il avait pu en disposer. Mais elle aurait empêché qu’on l’investît en 1954. Quand on voit les moyens utilisés par les députés de la IVe République pour bloquer le recours à un droit de dissolution pourtant très restreint, on imagine leur attitude s’il avait été discrétionnaire. Ils auraient pris soin de n’accepter jamais à Matignon que des Chautemps et des Queuille, personnalités souples, sachant éviter les problèmes gênants et se concilier la reconnaissance des parlementaires, indispensable pour arriver au pouvoir et y revenir.

On peut douter que Pierre Mendès France ait eu «un goût d’avoir raison plus fort que le désir d’aboutir». Toutes nos conversations m’ont persuadé que son désir d’aboutir était aussi vif que son goût d’avoir raison, mais qu’il se refusait à accepter les moyens du succès. Sous le régime d’autrefois, le refus de ruser, de dissimuler, de louvoyer était suicidaire. De même le recours à l’opinion publique pour contraindre les députés. Elle pouvait permettre de s’imposer au pouvoir dans des circonstances tout à fait exceptionnelles comme en juin 1954. Mais les parlementaires savaient ensuite se débarrasser vite de celui qu’ils avait dû supporter quelque temps. Le nombre et l’indiscipline des partis, la faiblesse des coalitions, la dispersion des suffrages populaires laissaient la maîtrise du jeu à l’Assemblée nationale. Dans un tel système, elle aurait facilement tourné la liberté de dissolution, et même la dissolution automatique rêvée par certains.

Pierre Mendès France avait compris qu’il fallait restituer aux citoyens le pouvoir de trancher dont ils se trouvaient ainsi dépouillés. Mais il s’obstinait à repousser les seuls moyens qui auraient permis d’y parvenir. Tout un passage de La République moderne conteste que le gouvernement de législature soit lié à l’existence de grands partis disciplinés dont la bipolarisation garantit une majorité docile à son leader, qui peut ainsi appliquer le programme approuvé par les électeurs. Comment l’admirateur du régime britannique pouvait-il s’aveugler ainsi sur son mécanisme essentiel? Qu’un homme à l’intelligence si aiguë se montre si peu clairvoyant, cela traduit un refus profond de remettre en cause les idées de sa jeunesse et le mythe du radicalisme.

On le vit bien en 1955, quand il s’efforça de rénover la vieille maison et d’en faire le pivot du Front républicain. Jean Lacouture pense qu’Edgar Faure fit échouer l’entreprise en provoquant des élections anticipées avant qu’elle ne soit achevée. En vérité, elle était condamnée à l’échec par sa nature même. À quoi bon faire entrer des milliers de militants dans un parti radical dont la structure ne permettait ni de choisir les candidats ni de discipliner les élus? À quoi bon étoffer une organisation et l’entourer d’une alliance grâce au prestige de l’ancien président du Conseil, s’il n’était pas le chef de l’une et de l’autre? Engagée au nom de la vérité et de la loyauté, l’aventure finit en escroquerie politique quand le prestige de Pierre Mendès France servit à mettre Guy Mollet au pouvoir. La IVe République est morte ce jour-là dans l’esprit de nombreux Français.

La substitution de personnes a profondément traumatisé nos concitoyens. Ne soyons pas aveugles, cependant. Si elle ne s’était pas produite, l’homme de la paix en Indochine n’aurait pu venir à bout de la paix en Algérie, ni des autres problèmes fondamentaux qui assaillaient alors la nation. Il n’en aurait pas eu les moyens. Le Front républicain était une coalition trop fragile et trop étroite pour fonder un gouvernement solide et durable, et lui permettre de prendre de grandes décisions. Un second ministère Mendès France aurait-il dépassé les sept mois et dix-sept jours du premier? On peut en douter. Une telle réflexion conduisit alors à proposer d’élire au suffrage universel le responsable suprême de la politique, afin d’aboutir par des institutions au résultat que les Britanniques obtiennent par le dualisme de partis disciplinés. À cette idée lancée au printemps de 1956, la plupart des mendésistes se rallièrent dans les années suivantes, convaincus qu’elle seule pouvait porter leur leader au pouvoir en lui donnant les moyens de gouverner.

Il fut ainsi l’inspirateur involontaire d’une réforme qu’il détestait. Les chevau-légers des nouvelles gauches qui se sont groupés autour d’elle avaient été d’abord rassemblés autour de lui. Ils ont pensé à lui dans leur combat pour une institution qu’il repoussait. Ils ont espéré jusqu’à la dernière limite qu’il finirait par s’y rallier. Ils ont ainsi contribué à écarter du pouvoir l’homme qu’ils voulaient y porter, et à préparer la victoire de celui qui allait le remplacer à leur tête avant de ressusciter le Parti socialiste et de le conduire à la victoire. Ainsi s’éclaire un autre aspect de la contradiction fondamentale qui déchirait Pierre Mendès France. Dans le régime d’avant 1958, son refus de ruser et de louvoyer l’empêchait d’appliquer les recettes qui permettaient d’exercer un pouvoir à la discrétion des députés. Dans le régime d’après 1962, son attachement au parlementarisme lui a interdit d’accepter un système qui permettait aux citoyens de choisir le responsable suprême de la politique nationale, et de lui donner les moyens de gouverner sans ruser ni louvoyer.

Ce double irréalisme politique cohabitait avec un solide réalisme économique. Mendès savait que la production, les échanges, les prix, la monnaie sont régis par des lois qu’on ne peut écarter sans dommage. Il ne croyait pas que des mécanismes aussi contraignants puissent régir l’art de gouverner. Dans ce domaine, il raisonnait en juriste et voulait tout fonder sur le contrat. Il imaginait une alliance entre des hommes unis par un projet qui attirerait une majorité de citoyens. Cette conception correspondait au parlementarisme d’avant les grands partis modernes, où chaque député restait libre de ses mouvements, mais où les républicains se reconnaissaient à une éthique commune, enracinée dans leur cœur. Après 1945, ce radicalisme moral était tombé en désuétude, même chez ceux qui se réclamaient de lui. Il supportaient d’autant moins Pierre Mendès France qu’il incarnait un idéal dont eux-mêmes s’étaient détournés.

Si la politique moderne n’a pas des lois aussi rigides que celles de l’économie, elle s’exerce maintenant à travers des systèmes complexes dont on ne peut méconnaître les règles sans dommage. Cassandre n’a pas compris que l’élection populaire du chef politique suprême transformait le pouvoir personnel du général de Gaulle en pouvoir institutionnel, créant ainsi une authentique République moderne . Chef tout désigné d’un gouvernement provisoire en cas de succession révolutionnaire, il s’excluait d’une succession régulière en refusant la procédure qui l’organisait. En 1968 déjà, celle-là était suffisamment acceptée pour que François Mitterrand puisse envisager d’y recourir en cas d’effondrement du gaullisme, tout en faisant appel à Mendès France pour diriger la période transitoire. L’année suivante, les citoyens montrèrent clairement qu’ils refusaient l’étrange amalgame proposé par Gaston Defferre entre l’ancien système et le nouveau. La roue de l’histoire avait tourné.

L’éthique mendésiste

Quelques-uns rêvent d’en inverser le mouvement au nom d’un mendésisme qu’ils ont attendu la disparition de Mendès pour invoquer contre les nouvelles institutions de la France. Ils disent que la République ne peut se réduire à un suffrage universel qui choisit un président et lui donne ensuite une majorité à ses ordres pour gouverner. Ils critiquent l’abaissement des députés au nom des traditions d’avant 1958. Ils tâchent de faire vibrer la corde du parlementarisme traditionnel, d’évoquer la mémoire d’Alain, de réveiller le fantôme du radicalisme, de ressusciter le centrisme. Ils oublient la bouleversante accolade de Pierre Mendès France et de François Mitterrand, le 21 mai 1981. Ils négligent de voir que l’homme du «non-non» de 1945 a soutenu le long combat de la gauche pour faire tourner à son avantage le nouveau système politique. Ils le trahissent en tâchant d’utiliser sa mémoire contre le chef de l’État, le gouvernement et la majorité que lui-même a souhaité voir à la place où ils sont maintenant.

Nul ne peut oublier, certes, les avertissements qu’il a donnés sur les possibles déviations du régime vers le pouvoir personnel et la dictature. Mais comment négliger que vingt ans d’expérience ont enraciné ces institutions dans la démocratie et que leur prise en charge par les socialistes a renforcé cette évolution? Comment justifier qu’on tente de replonger le pays dans l’impuissance des régimes précédents, en invoquant le souvenir de celui qui avait si fortement dénoncé leurs défauts? En vérité, le nouveau régime n’est pas affaibli mais renforcé par le message de Pierre Mendès France si on le réduit à l’essentiel, si on le détache de la gangue des circonstances qui le défiguraient à l’origine.

Cela est vrai de la conception mendésienne de la République. L’attachement au parlementarisme traditionnel reflétait une fidélité à la vieille idée radicale que tout ministre doit être étroitement contrôlé par les représentants du peuple, que tout pouvoir doit éveiller en permanence la méfiance des citoyens. Quand les gouvernements étaient infirmes et éphémères, ces principes n’avaient pas grand intérêt. Ils affaiblissaient un État exsangue et impuissant. À quoi bon développer les contrepoids quand le pouvoir ne pèse rien, sinon à le faire dégringoler un peu plus bas? Tout change depuis que notre démocratie est tenue par le corset de fer de l’élection présidentielle au suffrage universel. Il ne l’a pas fait glisser vers la dictature ni vers le pouvoir personnel. Mais il tend vers un abaissement trop grand du Parlement, qui devra être corrigé. Dans ce domaine, la pensée de Mendès France mérite réflexion, replacée dans un contexte qui lui donne une force qu’elle n’avait pas auparavant.

D’une façon plus générale: parce que le mendésisme ne forme pas un système, parce qu’il est une certaine forme du caractère, une certaine exigence de la conscience, une certaine qualité du civisme, il n’est pas entaché de la caducité qui frappe les constructions de l’esprit et les structures des sociétés. La rigueur et le sérieux qu’a décrits Bloch-Lainé sont nécessaires dans tous les régimes. La Ve République ne saurait d’autant moins s’en dispenser qu’elle donne à ses gouvernants des pouvoirs considérables. La négligence, la démagogie, le laxisme sont relativement inoffensifs quand celui qui s’y livre n’a guère les moyens d’agir. Ils deviennent terriblement dangereux quand ils dévoient une forte capacité de décision.

«Sept mois de pouvoir, trente ans d’iconographie», a dit un critique de droite qui se voulait méchant. N’a-t-il pas rendu finalement le plus bel hommage qui soit à l’homme de la paix en Indochine et du règlement de la C.E.D.? Le temps ne fait rien à la chose quand un peuple a senti le souffle d’un homme d’État et qu’il en garde la nostalgie. Nul ne peut dire ce que celui-là aurait fait d’un mandat de sept ans assorti d’une majorité pliée à ses décisions. Mais quiconque exerce l’immense puissance que la Ve République confère ainsi à son responsable suprême ne peut se dispenser des vertus dont Pierre Mendès France est devenu le symbole.

Les exercices de virtuosité qui assuraient les carrières d’autrefois ne sont plus de mise quand on dispose du temps et des moyens d’appliquer un programme, et que les citoyens peuvent en apprécier ainsi les conséquences. Qui ne règne qu’un seul été peut s’en tenir au chant des cigales. Qui est condamné à la durée doit se comporter en fourmi s’il ne veut pas mal finir. Un gouvernement de six mois peut rejeter les échéances sur son successeur, un pouvoir septennal ne le permet pas. Le chef d’une coalition hétérogène rend facilement ses alliés responsables de son échec. Le chef d’une majorité cohérente doit assumer les conséquences de ses décisions.

La rigueur, le choix, le plan: ces trois règles de Mendès France pouvaient être ignorées des présidents du Conseil d’avant 1958, qui n’avaient ni les moyens ni le loisir de les appliquer. Comment les auraient-ils imposées à une équipe où les divergences l’emportaient sur les convergences, où les contradictions paralysaient la plupart des décisions, pendant que son soutien parlementaire ressemblait à une tapisserie de Pénélope, à recommencer chaque matin, inlassablement? La rigueur, le choix, le plan s’imposent au contraire aux présidents de la République et aux Premiers ministres d’aujourd’hui. Les députés et les partis y sont également tenus. Libres de se livrer à toutes les démagogies quand ils ne risquent pas d’être pris au mot, ils sont condamnés au réalisme quand ils savent que le bilan de la majorité pourra être dressé en fin de mandat et qu’il déterminera les élections correspondantes.

Pierre Mendès France a été paralysé par la contradiction entre les qualités individuelles qu’il exigeait des gouvernants et les mécanismes d’un régime qui n’en permettait pas l’exercice, sauf pour le bref intermède d’un sauveur appelé à l’occasion d’une crise exceptionnelle et promptement renvoyé dès qu’il cessait d’être nécessaire. Un an en 1936, sept mois en 1954-1955: hors de ces moments privilégiés, le parlementarisme traditionnel n’admettait ni la rigueur, ni le choix, ni le plan, mais seulement l’expédition des affaires courantes en ajournant les questions gênantes que ses acteurs habituels s’ingéniaient à ne pas poser. Les institutions qu’aimait Mendès proscrivaient la morale qu’il prônait. Tant qu’elles ont régné, celle-là restait inefficace, mais donnait à celui qui l’incarnait un prestige considérable. Les institutions en place depuis 1962 ont renversé les rapports entre la structure du régime et l’éthique mendésiste. Non seulement les hommes d’État peuvent désormais s’inspirer d’elle, mais ils le doivent. Elle devient une condition de leur succès, un élément de leur efficacité.

mendésisme [mɛ̃desism] n. m.
ÉTYM. 1954; de Mendès(-France).
Hist. Position politique socialiste de Pierre Mendès-France.
0 (…) ceux de mes confrères de la grande presse que la défaite du « mendésisme » a tant réjouis.
F. Mauriac, Bloc-notes 1952-1957, p. 302.
DÉR. (Du même rad.) Mendésiste.

Encyclopédie Universelle. 2012.

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